1 – DARK BONZAÏ 2 – GANG BANG KATANA 3 – THE RED SAMOURAÏ 4 – RADIOACTIVE SASHIMI + BONUS VIDÉO
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THE ART OF K est l’aboutissement final de longues années de recherche :
En préliminaire et aussi précisément taillé que la toison brune d’une MILF extrême orientale ou qu’un californian-maki, Dark Bonzaï, le premier morceaux de l’EP saura grâce à sa vigueur brutale vous arracher précocement toutes les larmes pubiennes de votre corps. Ensuite vient Gangbang Katana, à ce titre est associé une musique dont la puissance figure les partouzes et les couteaux japonais tout en rappelant l’entêtant et subtil parfum d’une vulve sollicitée ; on se laisse emporter par la monotone besogne des guitares frénétiques tout en subissant les coups de boutoir d’une batterie dominatrice.
En troisième position, Radioactive Sashimi nous entraîne dans une sombre back-room peuplée de freaks en tout genre, qui dansent et forniquent entre eux après avoir recouvert leurs organes d’un wasabi à haute teneur en césium 135.
Nous pourrions nous arrêter là, fourbus et haletants, la peau trempée de saké, de sueur et de semence mais Elektric Geïsha n’en a pas fini et envoie pour achever le travail The Red Samuraï dont le célèbre sabre aux dimensions priapiques est évoqué plus tôt…
L’apothéose est là ! Un frisson parcourt l’échine, la bouche se tord en une grimace bestiale, le gémissement devient un râle puis un cri puis une explosion libératrice qui se répand en un feu d’artifice blanc, tiède et humide, nous laissant essoufflés dans une somnolence bienheureuse, les oreilles bourdonnantes à force de pénétration par des sons rudes et massifs.
– Pierre Bertaud du Chazaud
Au sens strict du terme, une geisha est, au Japon, une dame de compagnie très raffinée et pratiquant à l’excellence les arts traditionnels japonais. Au travers du terme Elektric, les six Toulousains formant ce sextet particulier fait d’énergie Punk, d’inspirations entre la musique manouche et asiatique impose une patte unique dont le rayonnement musical reste particulièrement compliqué à décrire.
Troisième production du groupe après l’album “Sushi Bondage” et “Mister Sagawa”, “Art of K” perpétue le trajet emprunté par le groupe pour repousser toujours plus loin les limites de la musique traditionnelle.
“Hasta la vista, partners”. Voici de quelle manière est introduit cet EP, basse rythmique et coup de feu pour lancer une distorsion électronique et une guitare électrique en puissance. Dès ce premier titre, on ressent toute la bizarrerie et la cohérence des mélanges d’Elektric Geïsha. Tout en puissance, le groupe propulse un titre entraînant, où les parties électriques succèdent avec talent à des passages extrêmement dansants de guitare manouche.
“Art of K” a beau être un simple EP, on en aurait sans aucun souci voulu davantage… Mais préférons tout de même conserver davantage la qualité à la quantité, et espérons dans les prochains mois un second album persévérant dans cette voie de musique traditionnelle et moderne, car le talent de ces six musiciens est tout simplement indéniable.
Un groupe à suivre, assurément.
– Spirit of Rock
Dans la rubrique « groupe atypique » on vous présente aujourd’hui Elektric Geïsha. Un groupe installé dans un concept bien défini et sacrément original.
Avec les mangas et les vieux films japonais en toile de fond, avec une musique s’inspirant à la fois du monde manouche, du rock indus et de la musique électro, on découvre un univers particulièrement intéressant. D’autant plus que le résultat est assez bluffant. C’est dynamique, c’est frais, un peu barré et on se laisse facilement embarquer par ces mélodies mystérieuses et attachantes. Ici, pas de chanteur, les quelques voix en anglais ou japonais sont samplées et renforcent ce côté foldingue. On imagine facilement ces morceaux en bande originale d’un road-movie déjanté.
– Lords of Rock
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